
Elsa, la reine blanche
Deux facettes du caractère humain sont reprises dans le roman aux cours de plusieurs pérégrinations que mènent Jean et Elsa, séparément ou ensemble, vers un destin impitoyable.
Cette illustration est en couverture du roman Elsa, la reine blanche.
Cette peinture de Adelia Martins ( Juan le pins) illustre parfaitement les deux facettes du caractère humain :
A gauche, la gentillesse, la bonté, la générosité, la prévenance. Elles sont représentées par ces couleurs pastels du jaune au bleu, un apaisement au regard. C’est le cas des rencontres faites au quotidien . On entend souvent les gens dire : je suis allé au Foutuland mais que les gens sont gentils. C’est sûr, ces gens là vous voient pour la première fois, vous leur êtes tellement différent mais ils sont stupéfaits car vous leur ressemblez, cela les épate. Ils ne vous avaient jamais vu alors ils vous font un large sourire que vous prenez pour un accueil généreux, et ils sont sincères. C’est vrai, pris individuellement, les gens sont agréables et sympathiques.
A droite, du jaune foncé au rouge sang, sont stigmatisées la force, la souffrance, la violence, le détresse, le crime.
Ces deux facettes du caractère humain sont reprises dans le roman aux cours de plusieurs pérégrinations que mènent Jean et Elsa, séparément ou ensemble, vers un destin impitoyable.